lundi 16 mars 2009

mardi 10 mars 2009

La Mécanique

La Section des Maçons 1955

Les professeurs en 1955-1956

L'histoire

HISTORIQUE de l’Institut Technique SALAMA : 1955-2007

Dénomination : Institut Technique Salama (ITS) – anciennement : « Ecole Technique Don Bosco » - Avenue des Femmes congolaises n° 5, Commune de Lubumbashi – Province du Katanga – République Démocratique du Congo.

Statut : Depuis les accords entre l’Etat congolais et les Eglise, de 1978, l’école technique Don Bosco est devenue une école « conventionnée » catholique, jouissant du statut particulier d’« école d’association », ce qui veut dire que, devant les autorités de l’Etat, le représentant légal des Salésiens de don Bosco est le premier responsable. De ce fait, le Provincial des Salésiens de don Bosco, en tant que « représentant légal », nomme et licencie le personnel enseignant de l’école.

Evolution de 1955 à 2000 : l'Ecole Professionnelle Officielle des Métiers (EPOM) ouvrit ses portes à la date du 11/10/1955, avec trois sections à savoir : la mécanique, la menuiserie, la maçonnerie. L’effectif au début était de 92 jeunes, dont 36 en mécanique-auto, 32 en menuiserie, et 24 en maçonnerie. L’école était prise en charge par une communauté salésienne ayant à sa tête comme directeur : le P. Frans Lehaen (ancien provincial de Belgique et du Congo, futur évêque de Sakania) et trois autres salésiens : le P. Albert Snoeckx, préfet de l’école ; Mr Clément Hlond, coadjuteur, qualifié en mécanique ; un jeune salésien en stage, l’abbé Gerrit van Asperdt, qualifié en maçonnerie. Outre les salésiens déjà cités, le corps professoral était constitué de quatre professeurs laïcs européens et de 12 moniteurs congolais. Au niveau parascolaire, un groupe de Kiros était fondé dès la fin de la première année.
Au début, l'école se limitait à donner un enseignement pratique, de niveau artisanal. Par un programme de deux ans, on visait à former le plus grand nombre possible d’ouvriers qualifiés à déverser rapidement sur le marché du travail au Katanga ; main-d’œuvre dont on avait urgemment besoin dans cette province en phase d’industrialisation. C’est ainsi que, en juillet 1957, après deux ans de formation (artisanale), sortirent les premiers brevetés : 28 mécaniciens, 17 menuisiers, 20 maçons.

Progressivement furent mises sur pied les sections techniques secondaires inférieures (école professionnelle avec 4 ans d’étude – cycle court. L’école abandonnera progressivement les sections artisanales (à destiner aux écoles de l’Intérieur du pays). C’est ainsi qu’en 1960, on pouvait disposer des premiers diplômés de 4 ans d’études dans les sections citées. Cette année de l’Indépendance fut aussi marquée par le lancement d’une nouvelle section importante pour l’avenir de l’école : l’Electricité. Somme toute, à l’aube de l’Indépendance du Congo, l’Ecole technique Don Bosco était encore une petite école, avec ses 243 élèves qui recevaient l’enseignement en six classes au total, dont trois ajoutées en 1961. L’expansion était aussi freinée par la guerre entre l’armée katangaise et l’ONU (1961-1962).

En 1963, le Katanga réintégrera le Congo et adoptera de nouveau son système scolaire « national ».
En 1964-1965, l’école pouvait célébrer son dixième anniversaire. L’école comptait déjà 326 élèves et avait attribué 200 certificats d’études artisanales, 115 diplômes d’études professionnelles, et 8 diplômes d’études techniques secondaires. Le « cycle d'orientation » (C.O.) fut introduit au sein de l’école comme ailleurs au Congo. C’était une nouvelle étape dans l’évolution de l’école, car le C.O. devait permettre - dans son prolongement - la création de « cycles longs » de 6 ans d’études secondaires et l’obtention du diplôme d’Etat donnant accès aux études supérieures.
En effet, dès 1966, un cycle long fut ouvert dans la section Electricité. Dès lors, l’école était devenue une école technique secondaire supérieure (ETSS).

Le 1 juin 1970, les élèves de la sixième électricité participèrent pour la première fois aux examens d’Etat. En 1971, l’école avait atteint 650 élèves. A la section Mécanique Générale on commença un cycle long et, en 1972, on ouvrit aussi une section Mécanique Machines-Outils, cycle long.

En 1972, la fusion des deux écoles techniques gérées par les Salésiens de don bosco - celle de la Kafubu et celle de Lubumbashi - envisagée depuis longtemps, se réalisait enfin. Pendant les grandes vacances de 1972, on transférait en ville les machines de l’atelier de mécanique de la Kafubu. De nouveau, pendant les grandes vacances de 1973, c’était le cas pour l’imprimerie. Notons que l’imprimerie de la Kafubu était un cycle court et continua à fonctionner de la même manière en ville.

En 1973, à la demande de la Banque Mondiale, trois architectes vinrent relever les plans de bâtiments et d’installations de l’institut en vue de réaliser un grand projet. Malheureusement, il ne sera jamais réalisé, tout comme celui qu’aurait dû être financé par l’Etat suisse. C’est d’ailleurs à cause du grand projet (promis) de la Banque Mondiale que la Suisse s’était retiré.

1974-1975 : l’école changea de nom et devint « Institut Technique et Professionnel Salama » (ITPS). La nouveau nom, d’après le témoignage du P. Sylvain Verheynen, fut suggéré par le P. Snoeks. Celui-ci, bon connaisseur du swahili, et (pour ainsi dire) premier « préfet » (directeur) de l’école, comme un jour il était de passage dans la communauté et que les confrères lui parlaient de l’urgence de trouver un nouveau nom pour l’école, leur proposa le nom « salama » qui selon lui conviendrait très bien. Dans son entendement, il signifierait que l’ « E.T.O. don Bosco » était et resterait un lieu de « paix », une école où l’on « se sent chez soi ».

Ce fut aussi une période difficile : le Président Mobutu décida la nationalisation de toutes les écoles par l’Etat zaïrois. Partout, c’était la brusque nomination de laïcs congolais souvent peu expérimentés à la tête des écoles. Les évêques catholiques avaient décidé de retirer les ecclésiastiques de la direction des écoles ; d’où les salésiens responsables de l’Ecole technique don Bosco se préparèrent à quitter l’école en faisant l’inventaire pour une remise-reprise avec la direction laïque. Les supérieurs de la Congrégation permirent que restent à l’école, pouer l’enseignement, deux confrères ingénieurs : le P. Simons Dominiek et le P. André Ongenaert, ainsi que monsieur Aloïs Urlings, comme chef de l’atelier de mécanique.
Heureusement, à la fin des grandes vacances (en juillet 1975), les choses s’arrangèrent et les Salésiens, avec l’accord des autorités de l’Enseignement, pouvaient continuer à diriger l’Institut technique Salama.

Entre temps, l’expansion de l’école se poursuivait :
En 1975, les élèves de la section Mécanique Machines-Outils partirent pour la première fois aux examens d’Etat.
En juillet 1976, les derniers brevets de la section Menuiserie étaient livrés. L’Imprimerie allait s’installer dans l’atelier de la Menuiserie (section supprimée). Notons que la Maçonnerie avait disparu bien avant.
En 1978 (25 avril), c’était inauguration de nouvelles machines et d’appareillage à la section d’Imprimerie et à la section d’Electricité, grâce à la Coopération belge et une aide de la Congrégation salésienne.

1980 : dans une séance du conseil provincial, du 11 mars 1980, le conseil provincial déclara son accord avec le projet de la communauté de Salama de construire 12 nouvelles classes. La Belgique interviendrait pour les ¾ des frais. Le ¼ qui restait (= 1.000.000 FB) devait être apportée par la province AFC. Mais cette somme, disait-on, devait être récupérée « après la première tranche » ( ?). On ajouta qu’on pouvait compter aussi sur l’aide en matériel de la part de la Gécamines (GCM).

En 1983, le 30 mai : inauguration de trois bâtiments de classes et d’un lot important de matériel, surtout des Machines-Outils pour la section Mécanique, en présence du vice-gouverneur du Katanga et du consul de Belgique.
En 1986 : c’était la première participation de la section de l’Imprimerie cycle long et de la Mécanique Générale aux Examens d’Etat.
L’école dépassait pour la première fois le total de 1000 élèves.

La période 1970-1990 fut une période florissante dans le développement de l’école qui trouvait des appuis importants ; d’abord dans différents organismes internationaux : Banque Mondiale, B.A.D. (Banque Africaine de Développement ?). On reçut aussi l’aide des la Coopération belge et tunisienne, d’organismes non gouvernementaux laïques (ONG), ou encore d’organismes de l’église catholique ou de la Congrégation salésienne. On obtint l’envoi de professeurs (coopérants) dont certains restèrent de longues années, donnant un soutien important, tant au niveau de l’enseignement que de la logistique. C’étaient les « années grasses » qui ont été suivies des « années maigres » à partir des années 1988-1989, quand la plupart des pays cessèrent leur coopération avec le Zaïre suite aux problèmes politiques graves du pays.

Suivirent donc les années 1990-2000 : années difficiles à tout point de vue : les pillages de triste mémoire en 1991, la chasse au non-originaires au Katanga (entre 1992 et 1994), la dévaluation continue et inflation galopante, la fermeture des industries, et enfin la paupérisation progressive de la population.
Evénement réjouissant dans ce climat morose : l’inauguration de la piste d’athlétisme le 19 mai 1991.

En 1995, à Salama (comme ailleurs dans les écoles conventionnées du Congo), on a introduit le paiement, par les parents, des frais de d’intervention ponctuelle, nécessaires pour faire fonctionner les écoles dans une situation de démission totale de l’Etat. En cette année, les salésiens oeuvrant sur place, ont rédigé un PEP (projet éducatif et pastoral) dans lequel ils exprimaient leur désir d’aller de l’avant malgré que les circonstances les plus difficiles. Le P. Simons, sur le point de quitter l’école après de longues années de travail, formulait ainsi ses vœux pour l’avenir : « Parmi les projets, il y a surtout : une section d’Etudes Techniques Supérieures ou une Université Technique qui pourrait contribuer beaucoup au développement de la Province du Katanga ; un Centre de formation pour les enseignants de pratique ; un Centre de fabrication de matériel didactique ; un Centre pour la maintenance des écoles techniques du Katanga ».
A cette époque, l’école comptait déjà 1090 élèves, avec les cycles courts (Electricité, Imprimerie, Mécanique-Auto, Mécanique Générale) excepté pour la Mécanique-Outils ; puis les cycles longs dans les même sections, à l’exception pour la Mécanique-Auto.
Le Zaïre redevint le Congo en 1997, suite à une guerre dite « de libération » avec la chute du régime du président Mobutu, et l’arrivée au pouvoir de feu président Laurant Kabila. Une année après, en 1998, une nouvelle guerre était engagée contre certains pays agresseurs. La conséquence en fut une division du pays en diverses zones de rébellion, une guerre prolonguée qui a causé trois 3 millions de morts, un pays avec des infrastructures en ruine. Enfin, ce fut l’assassinat du feu président Laurent Kabila en 2001 et la succession au pouvoir suprême de son fils Joseph Kabila.
Une lente stabilisation se réalisa au Congo à partir de l’an 2000 avec les accords établis entre les belligérants, les gouvernants et la société civile du Congo, tous réunis à Sun-City. On décida d’organiser des élections démocratiques, qui eurent finalement lieu en 2006.

Evolution entre 2000 et 2006

Actuellement (en 2007), une reprise économique est partout visible dans la province du Katanga, surtout dans le secteur minier. La vie sociale s’améliore quelque peu, vu la stabilité de monnaie, la paix retrouvée, les nouveaux investissements venants des pays amis, les prix des matières premières, tel que le cuivre, le cobalt etc.
Dans ce nouveau cadre de plus grande stabilité macro-économique du Congo, les écoles techniques sont appelés à jouer un rôle de premier plan dans qualification de cadres techniques nécessaires dans la « reconstruction » du pays qui est devenu le maître-mot des autorités élues.
En l’an 2000, le nombre d’élèves avait atteint le chiffre de 1300. Ils recevaient l’enseignement en 36 classes spacieuses pouvant contenir jusqu’à 50 élèves chacune. C’est en cette année scolaire qu’on a introduit le port de l’uniforme se conformant aux usages des autres écoles. On décida qu’une revue « Ecole pour tous » allait paraître régulièrement. Le cycle court, jugeait la direction de l’école, était devenu inutile, manquant son but.

Depuis l'année scolaire 2001-2002, l'Institut Technique Salama a initié de nouvelles sections : la Mécanique Automobile : cycle long. Depuis 2003-2004 : la section Electronique avec une troisième année d’enseignement secondaire. En effet, le 19 septembre 2004, ce fut l’inauguration du bâtiment qui allait abriter une première année Electronique (la troisième année après les deux ans de cycle secondaire inférieur – SIS en sigle).

Au début de l’année scolaire 2002-2003, plus précisément le 16/09/2002, a démarré une nouvelle école, associée à celle secondaire : l’Ecole Supérieure d’Informatique de Salama (ESIS en sigle). Il s’agit d’une école privée, mixte, de niveau universitaire (dont l’affiliation à l’Unilu est prévue), délivrant un diplôme de graduat (avec 3 années d’études intenses), dans le but de former des cadres spécialisés dans les différents domaines de l’informatique dont on sentait partout le besoin. Sur 320 candidats qui s’étaient présentés pour l’examen sélectif, on en avait retenu 30. Année par année, cette institution e développera pour donner ses premiers finalistes en 2005. En effet, le 6 août 2005 sortirent de l’Esis les premiers diplômés, « ingénieurs informaticiens ». Existent actuellement les filières suivantes : (1) Technologie et Réseau ; (2) Design et Multimedia ; (3) Programmation et Base de données.

En 2003-2004, l’école secondaire compte 1400 élèves. Le cycle long en mécanique-auto sera complet l’année prochaine 2004-2005. Dans la section de l’imprimerie, on envisageait la spécialisation en sérigraphie. Il y avait toujours des classes à ajouter et à faire l’entretien des bâtiments existants. Le besoin de personnel qualifié se faisait sentir .
Ainsi, entre 2002 et 2005, on a encore créé un centre Informatique et une section de bureautique, puis une section secondaire d’Informatique. L’histoire de cette dernière section, promise à un grand avenir, a commencé le 21 mars 2004, par la pose de la première pierre d’un premier bâtiment de classes destiné à cette section. Une première année (troisième année après les 2 ans de CIS) allait prendre possession de ces classes à partir de l’année scolaire 2004-2005. Le 27 novembre 2005, on a inauguré le labo électronique.

Le 21 mai 2005, on a fêté solennellement le jubilé des cinquante ans d’existence de l’Institut Technique Salama : parmi les invités on a compté le Vicaire Général de la Congrégation, les autorités civiles et d’autres personnalités. A cette occasion, on a repeint tous les bâtiments de l’école (ateliers, classes…) afin que l’école se présente dans sa plus belle robe…

En l’année scolaire 2005-2006, signalons comme fait important : l’installation, le 13/03/2006, de deux nouvelles antennes d’une connexion satellitaire à l’Internet, fournie par l’organisme Signis (avec siège à Rome).

Le 24 mai 2006, à la fête de Marie Auxiliatrice, il y eut l’inauguration de la nouvelle bibliothèque, dénommée « Bibliothèque Artemide Zatti » . Cette bibliothèque, construite avec l’aide de l’organisme allemand Misereor, est spécialisée dans les matières techniques. Elle servira à la formation permanente des professeurs des écoles techniques de la ville et aux recherches des étudiants.

La situation en 2006-2007 :

L’ITS (l’école secondaire) accueille un effectif de près de 1600 élèves qui reçoivent l’enseignement en 44 classes, par un corps professoral qui s'élève à 93 unités. S’y ajoute une équipe d’une dizaine d’ouvriers. Une nouvelle aile de classes pour la section informatique est en construction.
L’ESIS (l’école supérieure) compte près de 200 étudiants qui suivent un curriculum de trois ans. Ils sont provisoirement logés dans des locaux de l’école secondaire. Un bâtiment spécifique pour eux est en construction depuis le début 2007, grâce à un projet financé par Comité missionnaire de Développement (COMIDE), une ONG belge.

Les frais scolaires (salaires des professeurs, frais de fonctionnement…) de l’école secondaire ITS (école officielle !) sont encore toujours à la charge des parents puisque l’Etat congolais n’a pas encore repris ses obligations. Cette année, ils sont fixés à 135 USA.
Les frais d’équipement et fonctionnement sont énormes : on ne peut les couvrir qu’en partie par les frais d’intervention ponctuelle de la part des parents. Il faut donc l’aide des ONG et de bienfaiteurs, nationaux et étrangers, qui comprennent notre situation et sont prêts à nous aider pour la construction de nouvelles classes et l’achat d’équipements.

L’aide aux élèves de parents pauvres est assurée par deux associations : ALBA qui paie les frais de 53 élèves de l'école, depuis 5 ans maintenant ; SAT qui paie les frais de 105 élèves depuis 4 ans. Il y a aussi les quatre petits internats qui accueillent un nombre réduit d’élèves de Salama qui introduisent une demande motivée pour y résider. Ceux-ci donnent un coup de main à la communauté dans la surveillance du patrimoine et rendent quelques services en échange d’un logement gratuit.
Les jeunes nous viennent de toutes les communes de la ville. Il en a qui viennent de familles aisées, la plupart vient de familles modestes, un tiers à peu près sont de familles pauvres qui réussissent à peine à payer les frais d'intervention ponctuelle des enseignants.
Avec les deux nouvelles sections - les sections mécanique Automobile et Electronique - les demandent abondent. C'est pourquoi les conditions d'inscriptions sont faites de manière à pouvoir limiter le choix et réorienter certains élèves dans d'autres sections. Il faut nécessairement augmenter le nombres de classes pour faire face à la demande sans perdre la qualité de la formation.

Il y a les filières suivantes :

- deux ans de cycle secondaire inférieur : 1ère et 2ème ; pour les jeunes de 12 à 14 ans en moyenne.

- Quatre ans de formation en cycle secondaire supérieur : pour les jeunes de 15 à 18 ans en moyenne, dans les sections suivantes :
* Electricité
* Imprimerie
* Electronique
* Mécanique Générale
* Machines-Outils
* Mécanique Automobile (la seule section avec cycle court, à coté du cycle long).

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Depuis le début jusqu'à nos jours, l'école a été dirigée par les salésiens de don Bosco, dans ses deux composantes : des prêtres et des coadjuteurs (frères), pour la plupart qualifiés dans divers domaines techniques. Les responsables de l’établissement scolaire qui se sont succédés ont tous été des Salésiens de don Bosco : 8 confrères expatriés de nationalité belge (1-8) et 3 confrères congolais (9-11). Voici leurs noms :

1) Albert SNOECKX de 1955 à 1959
2) Lambert DUMONT de 1959 à 1960
3) Jean SCHROOTEN de 1960 à 1965
4) Joseph CLARYSSE de 1965 à 1971
4) Jan DINGENEN de 1971 à 1974
5) Piet HOMMEL de 1974 à 1974
6) Dominiek SIMONS de 1974 à 1995 (+ P. Hommel : au cycle d’Orientation)
7) André ONGENAERT de 1995 à 1997
8) Pol VAN LAER de 1997 à 1999
9) Joachim TSHIBANGU de 1999 à 2004
10) Jean-Claude MWEMA de 2004 à 2006
11) Rémy NKANKU depuis septembre 2006

vendredi 6 mars 2009

EPOM

En 1953 fut décidée la création de l'Ecole Tecnique Officielle d'Elisabethville.

L'architecte TP GAUQUIE

Un plan déciennal revisé pour un total de 57 Millions

Sous la dénomination d'Ecole Professionnelle de Métiers (EPOM )

elle reçut ses premiers élèves le 11 OCTOBRE 1955:


MEC-AUTOMOBILE 36 élèves

MACONNERIE 32

MENUISERIE 32
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100 élèves

Un cycle de 2 ans.

A partir de l'année scolaire 1959-1960 il fut décidé que
l'Ecole abandonnerait progressivement les sections artisanales
et qu'elle ouvrirait aussitôt que possible
une section Technique Secondaire Inférieure ( ETSI ).

Avec le début de l'année scolaire 1960-1961
l'appelation EPOM
fait place définitivement à celle de " Ecole Technique Don Bosco "
En 1964-65 on commence avec un Cycle Orientation ( CO )
Ec prof MENUISERIE
MEC.AUTO
ETSI ELECTRICITE